La résilience, dans sa définition d’origine, est la capacité d’un matériau à retrouver son état initial après un impact.
Dans le domaine de la psychologie, cette notion se traduit par la capacité d’un individu à prendre acte d’un événement traumatique subi, et à se reconstruire.
De récentes études montrent que cette notion de résilience s’applique également à des événements qui ne sont pas nécessairement de grands traumatismes susceptibles de bouleverser votre vie… quoi que !
En France, Boris Cyrulnik est probablement l’un des chercheurs les plus en pointe sur le sujet et son ouvrage » Résilience – Connaissances de base » est une référence en la matière.
Pour autant, j’ai choisi de partager avec vous les travaux d’une chercheuse américaine : Kelly Mc Gonial. Psychologue diplômée de l’université de Stanford, elle n’a pas quitté cette université prestigieuse puisqu’en parallèle de ses recherches, elle y enseigne à la Graduate School of Business et à la School of Medecine.
Cette chercheuse passionnée s’intéresse au stress et à ses effets sur le corps humain. Ses différentes recherches l’ont amenées à se rendre compte que, comme beaucoup, elle avait fait une grave erreur en essayant de combattre le stress à tout prix. Mais je vous laisse découvrir la suite …
Résilience au stress : ce qu’il faut retenir
S’il fallait ne retenir qu’une seule idée de cette présentation, ce serait la suivante : le stress en lui même n’est pas mauvais, bien au contraire ! C’est l’excès de stress et la non-préparation qui sont néfastes.
La résilience au stress, c’est savoir écouter son corps pour reconnaître une situation de stress, y être préparé et savoir y répondre. Toutes les études le montrent : développer cette capacité de résilience reste le meilleur moyen d’utiliser son stress comme moteur et de ne pas se laisser emporter vers trop de stress, trop souvent, et atteindre le burn out.
La sophrologie, au travers des différents niveaux de relaxation dynamique, vous propose des exercices pour vous aider à développer cette résilience et des techniques pour faire face et maîtriser ce stress avant qu’il n’atteigne le seuil critique.
Vous avez aimé cet article ?
Ne manquez pas les prochains : abonnez-vous à notre lettre mensuelle.
Nous sommes comme vous, nous détestons la publicité.
La lettre mensuelle est donc garantie 0% de pub et votre
adresse ne sera ni utilisée, ni vendue pour autre chose.
Merci Sabine Pernet .. je partage
Bonjour,
Cette présentation nous ramène à un fondamental que nous avons oublié depuis longtemps : le stress est sur le plan éthologique présent tant chez l’homme que chez les animaux et possède un rôle protecteur.
C’est lui qui nous permet de prendre conscience d’un danger en restant attentifs et concentrés sur notre environnement et c’est également lui qui génère suffisamment de tonus (par les hormones et les neuromédiateurs) pour nous permettre de faire face ou de fuir avec efficacité.
Ecouter son corps pour apprendre à déceler les premiers signes de stress permet de l’utiliser à bon escient pour réagir au lieu de le laisser nous envahir et nous paralyser. Ensuite, c’est l’apprentissage (souvent par la méthode des essais et des échecs) qui nous permet de retenir la meilleure solution pour faire face à chaque situation de stress.
La sophrologie, en supprimant les blocages dus aux diverses tensions facilite (au même titre que certains psychotropes mais sans les inconvénients de ceux-ci) de devenir plus réceptifs et donc de réaliser plus rapidement et plus efficacement l’apprentissage.
Merci pour ce rappel sur la résilience et à bientôt.
Cordialement,
Jean-Pascal
Bonjour,
Cette présentation nous ramène à un fondamental que nous avons oublié depuis longtemps : le stress est sur le plan éthologique présent tant chez l’homme que chez les animaux et possède un rôle protecteur.
C’est lui qui nous permet de prendre conscience d’un danger en restant attentifs et concentrés sur notre environnement et c’est également lui qui génère suffisamment de tonus (par les hormones et les neuromédiateurs) pour nous permettre de faire face ou de fuir avec efficacité.
Ecouter son corps pour apprendre à déceler les premiers signes de stress permet de l’utiliser à bon escient pour réagir au lieu de le laisser nous envahir et nous paralyser. Ensuite, c’est l’apprentissage (souvent par la méthode des essais et des échecs) qui nous permet de retenir la meilleure solution pour faire face à chaque situation de stress.
La sophrologie, en supprimant les blocages dus aux diverses tensions facilite (au même titre que certains psychotropes mais sans les inconvénients de ceux-ci) de devenir plus réceptifs et donc de réaliser plus rapidement et plus efficacement l’apprentissage.
Merci pour ce rappel sur la résilience et à bientôt.
Cordialement,
Jean-Pascal